Arrivée à Cachoeira au convento. La pousada est belle. Vieux bâtiments religieux. Plafonds hauts. Le convento est un bel édifice. Une oasis de calme et de sérénité (et d’argent).
Petit déjeuner à volonté, moins familial que chez Noël ou Conceçao. Mais c’est bon. Ballade en ville de Cachoeira, ancienne splendeur. La ville est très animée au centre. Hier soir vie le long du fleuve Paraguacú où boire un verre. Les accès internet sont rares et bondés - lotados. Passer son tour. L’air est lourd et chaud très tôt.
La rive du fleuve est belle. Le fleuve voit son niveau changer avec les marées.
Instant de calme à Cachoeira. Le site est confortable et nous y restons 4 jours.
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| Cachoeira au bord du puissant Paraguaçú, né dans la Chapada Diamantina, retenu dans un barrage avant Cachoeira et qui s'écoule ici vers la Baie de Todos os Santos. Le niveau du Paraguaçú varie ici avec les marées de l'Atlantique |
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| São Felix en face de Cachoeira |
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Les pêcheurs travaillent tous les jours
sur le Paraguaçú |
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| En face de la célèbre fabrique de cigares Dannemann à São Felix |
Visite de la fabrique de cigares Dannemann. Belle explication de la fabrication du cigare. Elle est mise en scène avec les ouvrières en vêtements traditionnels : le chemisier blanc, la jupe de couleur. Le guide refuse le pourboire.
La fabrique est agrémentée d’un expo photo de bon niveau avec des tableaux aussi. Belle galerie d’art.
Un cigare est fait de 13 feuilles pour l’intérieur et une capa pour l’extérieur. Séchage très contrôlé. Une pièce est vendue à 26 reals soit 9 €. Nous n’achetons pas : non fumeurs.
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Le pont de Cachoeira qui traverse le Paraguaçú,
oeuvre de Gustave Eifel |
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Le chemin de fer ne passe plus par là et a laissé
la place aux voitures au milieu et
aux piétons et cyclistes sur les côtés |
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Les garças dorment sur une île au milieu du fleuve :
elles s'envolent en grands nuages d'oiseaux blancs |
Les garças
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| La nuit tombe sur le Paraguaçú : il est près de 19 h |
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Plus un aval un phare pour guider les navires :
d'avant le barrage? |
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En route vers Coqueiros, en aval de Cachoeira
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| Des maisons au bord du fleuve, des barques de pêcheurs |
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Une vieille usine au bord du fleuve :
que fabriquait-elle? |
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| La végétation est bien verte sur les rives du Paraguaçú |
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| La pêche en pirogue : plusieurs rameurs et des filets sont posés |
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| Arrivée à Coqueiros |
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| Un bateau au centre du fleuve, peut-être près d'un ban de sable |
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| Les marins s'affairent. |
Au bout de la rue un marchand de jus de fruits. Peite tchatche en portugais. Le garçon rigole un peu avec ses copains.
Ensuite
départ en bateau vers Coqueiros, petit village au bord du Paraguaçú. Le
tour est fait en 20 minutes. Retour au resto du port pour déjeuner. Des
crevettes du Paraguaçú. Un échange avec une famille dont la dame est de
Coqueiros. Le mari de Porto Sur. Ils habitent Salvador et y viennent
pour décoincer.
Retour
à Cachoeira en bateau en 1:15. Vues paisibles. Rentrée en silence. Les
hirondelles chassent les insectes à la surface de l’eau. Des
aigrettes-garças isolées sur les rives. Des rapaces volent le long du
fleuve ou au loin jouent dans les ascendances. Nous accostons à
Cachoeira. Vue sur les deux églises : grande catholique - petite noire.
La petite est un lieu de candomblé.
Aujourd’hui
le ciel est très dégagé; c’est la première fois. Beaucoup de lumière
sur le rio Paraguaçú où souffle un vent chaud. Des pêcheurs au filet
tout au long de la rivière, bien éloignés les uns des autres. en amont
de Cachoeira un grand barrage qui crée un vaste lac que nous ne
connaîtrons pas. A voir une autre fois.
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| la pose de filets |
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| Retour à Cachoeira |
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